17 nov. 2016

Red Rising



Couverture de Red Rising



Auteur : Pierce Brown
Editions : Hachette
Pages : 480
Genre : Science-fiction / jeunesse

“« J’aurais pu vivre en paix. Mes ennemis m’ont jeté dans la guerre. »

Darrow n’est pas un héros. Tout ce qu’il souhaite, c’est vivre heureux avec l’amour de sa vie. Mais les Ors, les dirigeants de la Société, en ont décidé autrement. Ils lui ont tout enlevé : sa raison de vivre, ses certitudes, jusqu’à son reflet dans le miroir.
Darrow n’a plus d’autre choix que de devenir comme ceux qui l’écrasent. Pour mieux les détruire. Il va être accepté au légendaire Institut, y être formé avec l’élite des Ors, dans un terrain d’entraînement grandeur nature.
Sauf que même ce paradis est un champ de bataille. Un champ de bataille où règnent deux règles : tuer ou être tué, dominer ou être dominé.”





Ce synopsis les gars… ça donne pas trop envie ? Et bah moi j'ai craqué,  j'ai longtemps hésité car j'en avais un peu ras la casquette des espèces de jeux où on doit tuer tout le monde pour gagner dans les romans : les histoires étaient semblables, on pouvait facilement deviner la suite... Mais bon, un jour où je me promenais en librairie (à peu près tous les jours en fait), je suis tombé sur une édition limitée à 7,95€ du bouquin. Voilà. Je suis faible.
Et punaise, je ne regrette pas. J’ai enfin trouvé mon coup de coeur de 2016 (oui il serai temps, en novembre c’est bien) ! ça fait longtemps que je n’ai pas été à fond dans un bouquin, tellement à fond que je ne pouvais plus m’en détacher, en fait je l’ai lu quasiment d’une traite.


L’univers est une petite merveille et se suffit à lui même. On  plonge dans la vie de Darrow, la vie sur la planète Mars, qui, à première vue, n’a pas l’air très amicale. En clair, passer ses vacances là bas, c’est pas une bonne idée. Ou alors on a envie que ses vacances ressemblent à Koh Lanta version hardcore.  L’auteur nous apporte des descriptions du point de vue de notre héros à la fois précises mais pas étouffantes, et ça c’est un bon point, on ne nous oblige pas à tout avaler d’un coup au risque de faire une indigestion. On a même le droit à des petites anecdotes toutes mignonnes (je rigole rien n’est mignon dans ce livre), ce qui rend le récit plus vivant et tellement plus agréable qu’une banale description. La base du fonctionnement de l'histoire c’est le système de castes qui y règne afin de “trier” les différentes personnes qui vivent sur la planète Mars et que je trouve tout particulièrement intéressant. Parce que malgré cela, chaque caste a ses défauts et ses qualités, personne n’est donc parfait et c’est appréciable.

Dès les premières pages, on est directement plongé dans le bain, on sait à quoi s’attendre et comme je l’ai dit juste avant, si vous cherchez quelque chose de mignon et doux bah… c’est pas la lecture qu’il vous faut. La plume est assez violente et crue, on ne mâche pas les mots et on ne fait pas vraiment de métaphores poétiques pour annoncer une mort ou un autre truc gore. Clairement, c’est ce que j’ai le plus apprécié dans ce livre (non pas que je sois une psychopathe et que je me délecte de descriptions hardcores tout en suçant les larmes d’un petit enfant que j'aurai préalablement torturé en mettant des raisins secs dans un gâteau) parce que rien ne nous est caché, tout nous est donné cartes sur table. Et ça suffit pour rendre l’histoire tellement plus vivante et intéressante, pour nous donner un aperçu du quotidien des personnages, ce qu'ils doivent subir.
Du coup, on s’attache rapidement à quelques personnages, notamment Darrow pour ma part et c'est bien une première fois que je réussis à m'attacher au personnage principal. Il est à la fois fort, charismatique, intelligent, mais tellement humain. Ce que j’ai vraiment aimé, c’est qu’il se posent des questions sur le pourquoi du comment, qu’il ressent des émotions très fortes et vraies mais qu’il sait qu’il n’a pas l’occasion d’avoir le choix, car dans ce livre, le fait d’hésiter vous assure une mort lente et douloureuse. On se retrouve donc avec un héros qui n’est absolument pas parfait (malgré son fort taux de réussite dans ses objectifs qui s'explique dans l'histoire) et bordel, qu’est ce que ça change des héros habituels. On a enfin à faire à un personnage qui possède une âme, dans le sens où on a tout un raisonnement logique derrière ses gestes. Mais il n’est cependant pas le seul à être intéressant, un bon nombre de personnages le sont. D’ailleurs je trouve que les réactions entre eux sont tellement vivantes et réelles, de part le dialogue qui est super naturel mais aussi certaines actions totalement humaines.


Vous avez compris, j'ai adoré ce livre et je vais attendre que la suite sorte dans la même édition que le premier pour connaître le reste, parce que j'avoue que la fin m'a un peu frustré,  ça devrait être interdit le suspens de toute façon. Ma chronique peut sembler tellement courte, mais j'avais peur de tout vous dire (surtout de trop en dire) et je sais que le spoil c'est mal.

Meme de François Hollande

Alors prenez vous une bonne après-midi pour vous plonger dans ce petit bijou de lecture, coupez votre téléphone, enfermez votre conjoint dans les toilettes , car croyez moi,  vous allez difficilement arrêter.








10 nov. 2016

Hataraku Maou-sama

Si vous mélangez un peu d’humour, de badassitude, de wadafuck, bla bla bla, et un peu de drame boom ça vous donnerez Hataraku Maou-Sama. Attendez… On me dit qu’un mélange de tout ça ça donne plein de trucks, OK et si je vous dis qu’il y a une ado de 16 ans qui fait du 95H ? Ah nan ça aussi… Et des anges et des démons ?... OK là on parle, là je vois que tu commences à t’y intéresser.
Image de Hataraku Maou-sama
“Dans un autre univers, le roi des démon a été vaincu lors d’une guerre qui opposait humains et démons (mdr on ne s’y attendait aps). Suite à sa défaite, lui et son meilleur commandant prirent la fuite dans un portail menant vers un autre univers, celui des humains, la planète Terre.” Haaan c’est quoi ce synopsis c’est bidon bolala ça à l’air pété samer, en plus t’as mis un commentaire entre parenthèse dans le synopsis.


    WHITE FOX nous a proposé l’adaptation du light novel Hataraku Maou-Sama il y a plus de 3 ans, presque 4, durant la saison de Printemps 2013. C’est un shônen de genre comédie, romance, fantastique, fantasy qui dura 13 épisodes. Pour le moment, aucune saison deux de prévue.

Même pas ça a commencé et tu dis que le synopsis est nul. Pas très professionnel ça.

Ok ok on se calme, et qui juge au synopsis d’abord ? Sinon je ne me serais pas fait avoir par Mayoiga (Lien ici) petit. Hataraku Maou-Sama nous fait donc suivre l’histoire du roi des démons d’un monde fantaisiste ainsi que de son ami... mais sur Terre, un monde nul, au Japon (coïncidence ? tg.). L’anime pouvant paraître très sérieux durant dans les… trois premières minutes va rapidement reprendre le droit chemin de l’humour et va te faire rire, oui toi.
    L’anime est classé dans la “romance”, ce n’est pas faux mais c’est à peine remarquable car elle est complètement masquée par le rigodrôle, rigommarrant, mdlol.

Quand ça cherche trop à faire rire ça devient rapidement lourd. Tu le sais ça ?

Entièrement d’accord avec toi, cependant l’humour n’y est pas forcé, c’est le contexte qui fait que. Un maître du monde surpuissant qui se retrouve dans un monde nul, sans pouvoir, qui se voit travailler au McDo : il y avait de quoi faire quelque chose de très sérieux ou de ridicule. C’est tourné au ridicule, mais au ridicule drôle qui passe à travers les personnages, leur incompréhension et leur quotidien quelque peu agité.

    On n’oublie pas le côté magique de l’anime, on nous le rappelle fréquemment et ça devient même le centre de l’histoire. L’animation est peut-être très drôle et ridicule 90% du temps, mais quand ça passe aux choses sérieuses, ça y va.
Image de Hataraku Maou-sama
Images de Hataraku Maou-sama Bon aller, les personnages, les dessins et l’animation, eh ouais trois en un qu’est-ce qu’il y a maintenant.
    Nos petits personnages sont très bien dessinés, rien à redire là-dessus, mais l’expert du crayon ce n’est pas moi, mais la femelle. L’animation est correcte, après ça n’a rien de très surprenant pour “une vie de tous les jours” mais c’était plutôt remarquable sur l’animation des scènes d’actions bien qu’elles ne constituent que 5% (j’ai dit 10% tout à l’heure ? Tant pis) de l’anime.
    Chacun des personnages possède sa personnalité propre et distinguée. Ils ont tous étaient fait dans le but de faire rire avec ce petit côté ridicul chez chacun d’entre eux sans pour autant perdre leur crédibilité, et sur ça rien à redire non plus, c’était bien dosé.  
    Les graphistes se sont amusés avec l’expression de leurs visages et c’est très bien réussis. On retrouve assez fréquemment ces expressions faciales et elles sont placées aux bons moments et à bon escient, ce qui n’est pas donnés à tous les animes. Enfin voilà, ce genre de transformation de visage kawaï appartient majoritairement au domaine du comique (ce que je viens de dire ne veut rien dire, mais vous m’avez compris), du coup ce n’est pas surprenant d’en voir mais ça reste toujours agréable à observer.

Bon bah c’est un anime drôle… Et puis ?...

Mais en fait tout est centré là-dessus, on ne s'ennuie pas parce-que c’est marrant et que le comique est très bien instauré. Bien sûr il y a une histoire qui n’est pas inintéressante mais si je vous en parle, bah c’est du spoil et je vais avoir des pouces rouges. Mais des animes qui sont là pour te détendre il y en a plein. Je ne parle pas des hentais. Putain. Un peu à la manière de Grimgar (Lien ici), ce que l’on suit principalement ce sont les personnages et comment est-ce qu’ils évoluent dans un monde inconnu, sauf que le monde inconnu c’est le nôtre et que ce sont eux les inconnus. Et juste suivre une réadaptation dans un monde comme le nôtre… pas marrant, parce-que la planète Terre faut avouer que c’est bien chiant.
    Et il ne faut pas oublier qu’il y a ce côté fantastique qui revient très souvent et qu’ils arrivent à insérer avec cohérence. La Terre ne possède pas la magie mais eux viennent d’un monde magique, je te balance une petite info de rien du tout, mais l’un de de leurs buts est de retrouver leurs pouvoirs magiques. C’est OUF non ?

    Bon je vais parler de la musique parce-que j’ai dit que je le ferai… laissez moi m’en rappeler… C’est fait. Le thème principal est du genre “epic” qui donne des frissons, tu verras duquel je parle quand tu le regarderas, il ne sort que pour certaines actions. Les musiques d’ambiances qui passeront plus souvent sont celles qui vont accompagner l’humour, du coup ce sont plus des petits OSTs sympathiques à l’écoute rien de plus.
    Cet OST epic qui revient est utilisé pour te montrer que même si le roi démon n’est rien sur Terre, il est est sacrément balèze ce connard, ce le genre de gars tu vois il va ken ta copine sous tes yeux et tu pourras rien dire parce-que sinon il va ken ta soeur. Ouais c’est violent t’as vu.

Et 13 épisodes ça a suffit a…

Pas du tout, et si je ne dis pas de bêtises les lights novels ne sont pas plus avancés que ça. Je dois sûrement dire une bêtise alors SVP ne me CRITIQUEZ PAS. C’est dommage, très dommage. Au-delà du genre comique, l’univers a ce côté qui donne envi d’en savoir plus. Mais à la bonne manière d’un No Game No Life ou d’un Shingeki no Kyojin, il fallait que ça s’arrête quand ça devenait vraiment intéressant, avec une saison 2 tardive ou inexistante (pour information, la saison deux animé de SnK est “prévu” pour 2017, et un film ngnl aussi).

    Hataraku Maou-Sama nous balance, vers les derniers épisodes, une multitude d’intrigues telles que : qui sont-ils, que font-ils là et comment sont-ils arrivés, qu’est-ce qu’il se passe bordel. En plus il y a une relation entre personnages qui évolue de manière conséquente tout le long des 13 épisodes et laisser ça en suspend c’est ILLÉGAL PUTAIN. Et ça va faire QUATRE ANS. RENDEZ MON ARGENT.

Du coup on imagine que tu l’as aimé.

Oui tout à fait monsieur tout à fait. Oui oui. Hataraku Maou-Sama fait parti de mes animes préférés et à juste titre. J’éprouve une satisfaction à regarder, à reregarder et à rereregarder cet anime car même si je connais l’histoire, les personnages me font rire alors que je sais pertinemment ce qu’il va se passer. Cependant chaque fin de visionnage me laisse perplexe parce-que comme je l’ai dit plus au-dessus : le gros de l’histoire n’est pas révélé et je pense clairement que vu comment les évènements s’enchaînent vers la fin, l’anime possède une suite mais ne possède peut-être pas les moyens de se faire publier ou que l’auteur a juste la flemme ou pas le temps  (un peu comme moi avec mon livre). Hataraku Maou-Sama ?

Image du Pokemon Tiplouf


Un anime qui mérite une deuxième saison, son petit côté détente rendra votre visionnage des 13 épisodes agréable et son univers vous dira de continuer à regarder, encore et encore jusqu’à arriver à la triste “fin”. Si vous avez l’habitude de regarder des animes, ou si vous voulez commencer, celui-ci est ni trop spécial, ni trop banal, il est juste très très bien et il est pour vous.


3 nov. 2016

Kill la Kill

Aujourd’hui est un grand jour, un jour nouveau. Enfin, plus exactement c’était hier soir vers 23h mais on va pas non plus chipoter. Il y a quelques mois, j’ai décidé de tester l’animé Kill la Kill sous les bons conseils de quelques amis, qui maintenant ne sont plus mes amis (non je rigole). Après de longs moments de doutes, de sentiments paradoxales, de combat avec des chatons bioniques, j’ai donc décidé, hier, le 29 octobre (oui parce que j'écris mes chroniques en avance tavu), d’arrêter pour la PREMIÈRE FOIS, un animé, alors que je ne l’avais pas complètement fini (il me restait environ 8 épisodes). Cependant, j’avais une bonne raison à cela :


Caca.




Vous aurez compris, aujourd’hui on va parler d’un animé qui ne m’a pas vraiment plu, même pas du tout. Cependant, cela ne veut pas dire que vous n’allez pas aimer non plus, alors tentez le coup !

Image de Kill la Kill



“L’histoire se déroule dans un lycée où les élèves possèdent des uniformes qui leur confèrent divers pouvoirs et capacités. Le conseil des étudiants, avec à sa tête Satsuki Kiryūin, règne avec une main de fer sur le lycée, c’est alors que Ryūko Matoi, une élève fraîchement transférée, se dresse face à leur tyrannie afin de découvrir qui est l’assassin de son père …”

Alors voilà, ça c’est le synopsis. Sympa me direz-vous? Non mais je suis d’accord avec vous, ça donne envie, ça a l’air cool. Sachez, et c’est très important pour la suite, que je ne connaissais pas le synopsis, je suis donc rentré dans l’histoire de façon totalement inconsciente de ce que j’allais voir par la suite. Je connaissais juste la tête du personnage principale.
C’est donc, très contente de pouvoir le regarder sur Netflix, que je me lance dans cette aventure :


Image de Kill la Kill


*Tousse*
Donc ça c'est un séant, plus communément appelé cul.
Voilà voilà. Et j'ai eu le choix dans les images sachez le.


Non plus sérieusement, dès le premier épisode j’ai compris que le synopsis voulait pas nous effrayer en nous disant tout simplement que les chères madames combattraient à moitié (même au ¾ on va être honnête) à poil. Bon, le premier épisode honnêtement, j’ai trouvé ça très drôle et très original.
Au bout du 5 ème ça commençait à devenir lourd, mais genre très lourd. Toutes les 3 secondes environ, dans chaque scène de combat on a des images subliminales de fesses ou de seins de chaque personnages, même si c’est super rapide, on me l’a fait pas à moi, et toc. C’est pas ce qui m’a le plus dérangé en fait, franchement, des scènes de fesses moi ça me dérange pas au contraire, je trouve ça drôle, QUAND C’EST PAS TOUT LE TEMPS. En plus au bout d'un moment j'étais habitué alors j'étais plus vraiment surprise.
Non le pire pour moi, ça devait être le scénario. J’ai pas du tout accroché, j’ai trouvé que c’était un peu brouillon et qu’on posait plein de trucs à la fois en mode “BOUFFE SPECTATEUR BOUFFE BOUFFE”. Et moi du coup, j’ai fait une petite overdose et même une grosse indigestion. A vrai dire, quand je regarde quelque chose généralement, je suis tellement à fond dedans que j’en bouffe tous les jours, dès que j’ai du temps libre. Dans ce cas là, je me donnais des excuses pour ne pas le regarder, je sais pas si vous vous en rendez compte, mais je préférais RÉVISER que de regarder un épisode de Kill la Kill. C’est quand même fort ça. Bon j'extrapole un peu, mais il est vrai que quand je me posais sur mon canapé, ma première pensée n’était pas pour cet animé.
Sachez donc que si vous cherchez un animé sérieux, celui ci ne vous intéressera pas. L'histoire est totalement déjantée, c'était un bon point au début, mais plus j'avançais, plus j'étais lassée. J'ai trouvé que tout était tourné en ridicule, rien n'était sérieux, et pourtant je suis la fille la moins sérieuse du monde, ça aurait du me plaire. Mais non, tout était trop poussé, trop trop... Y'a des animés où ça marche, d'autres où ça casse et pour moi dans ce cas, ça a cassé (Non je ne fais pas de la pub pour Brice de Nice).

Image de Kill la Kill
Cependant, je dois quand même avouer que pour avoir tenu un bon nombre d’épisodes, c’est que y’avait quelques points positifs, et pas des moindres.
L’animation est juste géniale, c’est dynamique, rapide, parfois elle est même juste ouf tellement elle est bien réalisée. Pendant certaines scènes, il m’arrivait même de mettre quelques secondes sur pause, histoire de pas avoir le tournis ou même de revoir ce qu’il se passe, juste pour le plaisir des yeux. C'est grâce à elle que je n'ai pas abandonné l'animé dès le début.
Le graphisme aussi est un bon point, le chara-design est super bien pensé même si y’a plus de couleur peau qu’autre chose vous l'aurez compris, je trouve que leurs caractères correspond parfaitement à la manière dont ils sont dessinés. Autant à certains moment le dessin est super simple, et je trouve que ça marche car l'animation compense le tout, autant d'autres fois, ils se sont bien embêtés !








Même si y’a un nombre important de personnages, surtout de secondaires, je trouve que chacun a sa personnalité propre et ça, même avec la pire mauvaise foie du monde, je peux pas le contester. Les personnages sont riches et haut en couleurs.



Image de Kill la Kill
D’ailleurs, un de mes personnages préférés, c’est lui, que j’ai affectueusement surnommé “homme téton”. Il n’y a pas de raisons particulières, mais j’aime ce personnage. Et puis de toute façon, cet animé n’a aucun sens alors j’ai pas besoin de poser un argument convenable au fait que ce personnage, dont les tétons s’illuminent, est un de mes préférés. J’ai bien dit que ses tétons s’illuminent, en rose qui plus est.
SES
TETONS
S’ILL….
Bon c’est bon vous avez compris.







Niveau musique ça cassait pas trois pattes a un canard (j’ai toujours aimé cette expression), en fait ça m’a pas vraiment marqué c’est pour dire… J'étais tellement absorbé par l'animation que j'entendais plus rien (et de toute façon je suis sourde).



Image de Kill la Kill

En résumé, ce qui m’a le plus bloqué, c’est l’histoire et généralement, quand on accroche pas, c’est mortel. Peut être que je le retenterai une prochaine fois, quand je serai sorti de mon overdose de fesses. J’espère ne pas vous avoir dégoûté tout de même et que vous allez quand même essayer, beaucoup de gens ont adoré, alors n’ayez pas peur, lancez-vous !