24 mars 2018

SoulWorker


Une bannière du jeu SoulWorker

Jeu


   Un beau jour, alors que nous, pauvres gamers fauchés, cherchions un jeu vidéal autre que League Of Legends afin de reposer notre taux de sel (ce qui n’est franchement pas de tout repos on est d’accord), nous sommes tombés sur un petit jeu dont la bêta venait de sortir sur Steam. Ce jeu, au doux nom de SoulWorker, est un hack’n’slash ou musoouuuouu, autrement dit “FAUT TOUS LES BUTER” en ligne. Vous avez pour l’instant, le choix entre 4 personnages, les deux autres arriveront plus tard. Du coup, ça tombait très bien puisque nous étions 4 (bon en vrai on était 5 lel), chacun a pu donc prendre un personnage différent afin de le tester. 

   Ce n’est pas un MMO openworld, et encore moins sandbox, donc voilà déjà vous êtes prévenus. Si vous avez joué à Elsword ou Dragon Nest ou autre du genre, vous savez comment ça marche, mais en gros le seul endroit où vous pourrez taper du monstre ça sera dans des “donjons/secteur/instance” comme vous voulez, qui se finit toujours par un boss à tuer, puis vous retournerez en ville, puis vous recommencerez, balbiblboubla, puis vous faut de l’énergie pour y aller, si vous en n’avez plus, vous rentrez pas (BRAVO) et il y a plusieurs difficultés. Voilà voilà, on dit souvent que j’explique bien.  


Histoire


   Alors, honnêtement, franchement… Non seulement j’ai rien compris à l’histoire parce que je ne l’ai pas lu (et oui faire un jeu en ligne à plusieurs, c’est un peu chiant si vous voulez vous imprégner de l’histoire) mais en plus en fait… elle ne m’intéresse pas tant que ça. Du coup, j’ai trouvé un petit paragraphe issu du site jeuxonline qui résume l’histoire :

“Soul Worker plonge le joueur au coeur de la cité de Cloudream, récemment frappé par l'attaque de mystérieux êtres extra-terrestres. La cité est ravagée et la population a disparu. Le joueur incarne un combattant doté de pouvoirs spéciaux et prend les armes pour s'aventurer dans une succession d'instances où lutter contre l'envahisseur pour libérer les innocents et rebâtir la cité en ruine.” 

Bon, l’histoire ne casse pas trois pattes à un canard c’est vrai, c’est franchement pas ça qui nous a donné envie d’y jouer. 

   Personnellement, j’ai commencé à écouter ce qu’avait à nous raconter SoulWorker vers la fin de la 2ème ville, soit un peu en dessous du niveau 30 (sur actuellement 55), enfin j’y jetais juste un oeil quoi. En fait c’est à partir de ce niveau là que j’ai commencé à jouer un peu seul, du coup j’avais un peu plus “de temps” pour m’y “intéresser”.
   Déjà, un gros plus, votre personnage parle, il a une voix ainsi que tous les protagonistes principaux. Ca rend tout de suite les choses plus vivantes, et ça si on s’intéresse à l’histoire ça aide beaucoup, et ça aide à s’y intéresser si on n’y fait pas attention aussi. C’est quelque chose qu’on peut retrouver dans Star Wars The Old Republic, même si ce jeu n’est pas terrible terrible (à mon goût), le fait que les PNJs parlent vraiment, c’est ultra plaisant, vous avez le choix entre plusieurs réponses et orienter votre personnage vers le mal ou le bien. Je jouais à SWTOR presque uniquement que pour ce système, parce-que le reste, bon. 
   J’ai trouvé certains de ces PNJs marrants, d’autres mignons, et j’ai trouvé leurs discussions rigodroles. Des PNJs intéressants d’un point de vue de la personnalité ça fait du bien dans un MMO. Après l’histoire c’est des histoires de guerre et de magouilles, en vrai ça va, moi j’ai envie de connaître la suite parce-que “je vis” un peu le personnage principal du coup je veux avancer dans ma quête, mais ça casse pas deux becs à un porc épique.  
    
   

Gameplay


   C’est un MMO d’action coréen, je dis bien action. Dans le genre, on a eu Elsword et encore plus ressemblant, Dragon Nest, qui nous proposent un gameplay dynamique qui change des point&clic comme les MMOs style WoW ou SWTOR pour n’en citer que des connus. SoulWorker n’échappe pas à la règle et rend le gameplay encore un peu plus intéressant, toujours plus ces chinois. 
   En gros, que ce soit dans un MMO action ou un point&clic ou même un hack’n’slash, on retrouve ce système de barre de raccourcis où on peut mettre une compétence. Dans SoulWorker, vous ne mettez pas 1 compétence par case, mais 3, comme ça votre personnage en lance 3 d’un coup. Non. Ca forme une sorte de combo, du coup, quand vous utilisez un raccourcis, il vous sera proposé d’utiliser le 2ème skill du combo, puis le 3ème. A noter que le cooldown (temps de rechargement) des skills est commun à tous vos combos. 
   Ca prend quelques temps à prendre en main, mais franchement c’est pas mal (parfois ça bug, le skill affiché “prêt” alors que non, du coup votre perso s’anime quand même et mongolise). Cepeeendaaaaant, ma référence en terme de MMO action restera Black Desert Online (coréen aussi), jeu où votre barre de raccourcis ne vous servira presque qu’à mettre des popos ou autres utilitaires car 98% de vos skills sont lançables via des raccourcis prédéfinis et des combinaisons de touches (genre F, shift+clic gauche, espace+E, etc etc…), genre juste taper des mobs dans ce jeu je trouve ça kiffant (et celui là c’est un géant openworld). 
   
   Bah il a tout dit au niveau du gameplay… Moi j’ai rien à rajout… Ah si ! N’ayez pas peur de violer votre clavier ! De toute façon, au bout d’un moment, vous n’aurez pas le choix :3

   J’rajoute qu’il y a quelques trucs dommages quand même, genre, en l’air vous n’esquiverez pas les dégâts au sol.


Difficulté


   Chaque donjon a trois niveaux de difficulté : normal, difficile et dément. Quand nous nous sommes lancés dans cette aventure, je me rappelle qu’on s’était tous dit “wallah, le jeu il est facile” juste parce que justement on jouait en facile… Mais, quand on a lancé le même donjon en dément… On est pratiquement tous morts, ahahah… non plus sérieusement, en groupe le jeu reste assez jouable, même en dément, mais ça c’est parce que je suis encore bas level, je ne sais pas ce qui m’attend après. Certains boss donnent du fil à retordre il est vrai, mais à 4 les donjons se font très facilement en réalité.
   Le jeu propose aussi un donjon solo, je laisse Ben en parler parce que je ne le connais pas vraiment encore. Cependant, je sais que la difficulté dans ce donjon est assez élevée, puisque déjà nous sommes seuls à l’intérieur, à cela s’ajoute le nombre de monstre qui augmente assez dangereusement. 

   OK là il est temps de parler de choses qui fâchent, j’viens de sortir d’une session de ce “donjon solo” qui s’appelle Tombeaux d’acier et là j’suis chaud bouillant. Il est constitué de 15 chapitres, chaque chapitre étant divisé en 5 phases, vous gagnerez une monnaie différente de ce qui vous sert à acheter à l’HDV, et d’autres matos qui sert à crafter du stuff et/ou à être vendu. 
Ce tombeau est difficile. Mais genre difficile de manière ridicule. Encore du niveau 1 à 4 c’est une balade de santé, le 5ème (pske chaque palier de 5 vous donne des trucs en plus que les autres) vous fait combattre 10 boss en même temps par palier, chacun pouvant potentiellement vous 2shot. 
Il est bien de préciser qu’il n’est pas possible de se heal via des potions, mais seulement via des items qui droperont aléatoirement, ET, si vous en ramassez plusieurs trop vite, c’est comme si vous n’en n’aviez pris qu’un. GG.
Enfin, des items de heal, jusqu’au chapitre 12, à partir du 13 c’est fini, trouvez vous des items ou des titres qui regen par élimination parce-que sinon, vous allez avoir un 4ème trou de fesses. Je dis ça pourquoi, parce-que les mobs font très très mal. Ce sont les mêmes mobs que vous retrouvez dans les différents secteurs, résistants comme s’ils étaient de la difficulté intermédiaire entre normal et difficile, et faisant mal comme s’ils étaient entre la difficulté Dément et MDRjtebz. 
Un screenshot du jeu soulworker
Comme si c’était pas assez, ils regroupent les pires mobs/boss que vous pourrez croiser, ensemble, et ajoute des difficulté genre, le terrain il est électrique si tu restes t’es paralysé. Genre, des plateformes, GENRE, des plateformes il faut que tu sautes de bloc en bloc et si tu rates tu tombes sur un sol empoisonné tu perds 15% de ta vie par seconde et qu’en plus ya des pièges sur les blocs si tu te les prends tu tombes en tombant 15% supplémentaires. 
Le Steelgrave, pour les intimes, c’est utiles, mais putin, remarquez bien le côté ridicule de la difficulté.
Je parle du steelgrave, mais les donjons des derniers secteurs c’est un peu pareil. Et vas-y que j’te lmets des zones de dégâts, et vas-y j’te mets du poison, le boss se tp tout le temps, et vas y les trashmobs blablabla, le boss qui enflamme le sol dès qu’il attaque comme tu peux pas l’attaquer. OK j’veux bien que le jeu se doit d’être plus difficile avec le temps, mais là c’est juste rallonger la vie de ces pauvres boss de quelques minutes. 
Mais sinon tout le reste du jeu a une difficulté franchement pas mauvaise, pas trop facile, difficile mais pas trop, ENFIN, vous m’avez compris.


Graphisme


   Le jeu se débrouille très bien graphiquement, les couleurs sont jolies, les personnages sont charismatiques, les animations bien faites, y’a pas grand chose à dire dessus quand c’est bon !

   Effectivement c’est beau, y'a quelques bugs de textures entre autre avec les cheveux longs, mais ça c’est récurrent, mais sinon c’est un truc style anime et c’est très bien fait, admirez vous-même.

Un screenshot du jeu SoulWorker


C’est plutôt classique en fait… j’aurais préféré en avoir une rouge. ET JE PEUX LE FAIRE EN PLUS. Mais pas l’argent.

Conclusion


   A part le fait d’avoir à F A R M les secteurs pour pouvoir atteindre le end game, j’ai pas trouvé beaucoup de défauts à Soulworker, en tout cas pas qui m’aient réellement déranger (a part la difficulte rajouté encore une fois). C’est gratuit, c’est assez plaisant à jouer même si répétitif vu qu’on rejoue les mêmes secteurs encore et encore. Faut savoir qu’à l’heure de l’écriture j’ai dû jouer 3 à 4 fois plus qu’Audrey (mais elle va me rattraper ça, pas de soucis à se faire), soit presque 100h de jeu en 2 semaines, oui, et mon perso n’est pas lv max. Mais c’est parce que je découvre le jeu, en en refaisant un je sais très bien que j’irai bien plus vite.
On n’a pas parlé de toutes les spécificités du jeu, craft, “enchantement”, costumes, etc etc… parce-qu’on ne s'y connaît pas trop trop, a part qu’il faut farmer. Mais il y a franchement de quoi s’occuper sur ce jeu et… on est parti pour les 200h !

   En effet, ce jeu est vraiment cool pour un jeu gratuit ! Perso, je préfère y jouer à plusieurs que solo pour le moment, c'est assez facile de se lasser du côté "bourrin". 

17 mars 2018

10 faits pour mieux nous connaître !




Nous avons décidé que chaque année, nous allons réaliser un petit article complétement hors sujet des chroniques habituelles, un petit article un peu plus personnel !
Et nous commençons dans l’originalité, n’est ce pas, avec un petit “10 machins trucs que vous ne savez pas sur nous”, qui n’est franchement pas très intéressant, mais qui peut être rigolo !
Puis moi j’ai eu l’idée rigolote de rajouter un commentaire sur les facts de l’autre. Voilà voilà, c’est marrant hein, on s’amuse. Pourquoi j’écris en violet ? Audrey écrit en orange parce qu’elle est rousse, moi en violet parce que


Audrey/Ben


1- Je peux mettre 50 ans à manger un truc que j’adore, je le savoure tellement que je suis capable de le manger miette par miette pour profiter à fond. Ouais ça commence bien. 
1- J’aime bien cuisiner. Voilà. Peut-être que j’cuisine mal ou bizarrement mais tant que j’arrive à manger ce que je fais ça me va. Maintenant les filles j’attends vos propositions. 

2- Je n’aime pas mais alors pas du tout les insectes. Mettez moi devant un papillon ou une coccinelle et c’est moi qui cours comme une abrutie dans l’autre sens. D’ailleurs, là j’imagine que vous vous moquez, mais savez-vous de quoi se nourrit un papillon? Oui, oui, de pollen mais pas que… Les papillons… sucent les croûtes de sang les gars, LE SANG ! Oui et les chevreuils c’est des chèvres aussi. 
2- Je suis trypophobique, rien que retrouver le mot et voir les images sur google ça m’a dérangé. En gros c’est… la phobie des trous, mais genre un groupement de trous, allez voir sur internet, j’suis sûr que beaucoup plus de gens sont concernés par ça qu’on le croit. Après ça va j’arrive encore à tenir une éponge en main. Les filles, craignez le !

3- Je suis une fan incontestée de musique de type Métal et depuis quelques temps, j’accumule les concerts magnifiques avec mes amis ! Tel que des festivals de musiques celtes.
3- Je suis un fan de Love Live!, les deux groupes. J’suis un fan récent, du coup il y a plein de trucs que ne connais pas encore et pourtant j’vendrais Audrey pour aller à un de leur concert, et pourtant je n’aime pas du tout les amas de monde. J’aurais bien aimé les suivre dès leurs débuts mais je suis nul. Fra-fra-fra-FRAGILE

4- Au tout début de mon adolescence, je n’aimais pas du tout les mangas/animés. Puis, j’ai vu Elfen Lied et tout a changé… Ce fût un déclic et maintenant c’est une addiction !
4- Je n’aimais pas du tout les jeux de rythmes, parce-que je n’écoutais pas de musique au collège et avant. Puis on m’a fait découvrir Osu! et maintenant les jeux de rythmes font partis de mes jeux préférés si ce ne sont pas mes jeux préférés. 

5- Si je ne me contenais pas, je suis sûre que je passerais mon temps affalée devant mes jeux vidéos ou des livres ! D’ailleurs c’est un vrai talent en fait, je suis capable de rester là où on m’a laissé pendant plus de 10h d’affilées, sans rien faire d’autre à part respirer, si j’ai un bon livre ou jeux dans les mains ! 10h ? Petite p…
5- J E peux rester plus de 10h devant mon écran à jouer/regarder des animes/vidéos et à ne rien faire sans avoir à me contenir parce-que ma vie est nulle. Et je mange aussi.

6- Contradiction totale avec le cinquième truc : je déteste rester sans rien faire. Je ne peux pas me poser sans rien faire, il faut toujours que je fasse quelque chose sinon j’ai l’impression de perdre du temps… 
6- Je n’ai aucune motivation. Que ce soit pour travailler (et ça c’est handicapant), pour écrire un livre que j’ai avancé que j’ai la flemme de continuer, pour lire des livres/mangas aussi, reprendre le piano et parfois j’ai même la flemme de jouer ou regarder des animes, genre c’est chaud.

7- Je suis une gaga d’organisation, même si j’en ai pas l’air du tout lel. J’ai toujours 50 000 carnets où je note mes objectifs, mes trucs à faire et si je dois prévoir quelque chose, je préfère le faire 50 ans avant pour être sûr que tout se passe bien. Du coup, dès que quelque chose se fait à l’improviste, je suis dans un état de stress pas possible et c’est pas agréable pour les gens autour de moi ! Tu fais 50 ans à l’avance dans la mesure OU tu le fais, évidemment. Sinon c’est vrai, stressée on dirait qu’elle a ses règles 24h/24. 
7- J’aime les lolis. Voilà maintenant appelez la police.

8- Quand je suis stressée ou énervée, j’adore faire le ménage à fond ou trier des trucs pour me calmer. T’es bien une fille putain. Viens chez moi que jt’énerve un coup.
8- Je ne suis pas constipé parce-que je mange du riz tout le temps.Je suis constipé parce que
Bon voilà petite boutade hein, je n’ai plus d’idées du coup je vais copier sur la rousse. Je… Si je suis stressée he bah… hé bein je suis rarement stressée, voilà ma puissance, j’ai genre la flemme d’être stressée. J’ai plus tendance à ne pas trop y penser, penser que ça va aller et trouver, calmement, des solutions. A un moment t’es pas en école d’ingénieur pour stresser au moindre problème. WOUAH LE MEC COMMENT IL SE LA PEEEEEEEETE.   

9- J’aimerais écrire un livre mais j’ai une flemme incontrôlable dès que je me pose pour commencer. 
9- J’ai, un peu plus jeune, déjà écrit 2 (3 en fait) livres de ~100 pages que seule Audrey (et 1 ou 2 autres personnes) a lu, plus deux autres en cours (que j’ai la flemme de continuer du coup xd) dont un qui est la réécriture des deux précédents livres déjà écrits. J’ai un univers complet et complexe en tête, j’ai les grandes lignes de plusieurs histoires qui s’entrecroisent des frises chronologiques MAIS, je n’écris pas du coup, rien :3 Puis de base vu que je ne lis pas, je ne sais pas écrire et je n’ai pas de vocabulaire, demandez à Audrey, çe ne ressemble à rien. 

10- J’ai commencé il y a peu à me plonger dans le monde merveilleux des collectionneurs de jeux vidéo… Alors je débute, ma collection est encore très très pauvre comparée à certaines, mais c’est quelque chose que j’ai toujours voulu faire et qui, au grand malheur de ma carte bleue, se réalise petit à petit ! T’as commencé ce matin en fait… “depuis peu” excusez nous. 
10- Je transpire des mains quand je joue, surtout à Osu!. Voilà dernière petite fact dégueulasse, ça me dérange énormément parce qu’en fait je transpire facilement, et aux mains ça glisse et tout c’est chiant. Ca dérange particulièrement sur Osu!. 

2 mars 2018

Le Pokémon de la tendinite au poignet !



Vous en avez marre de jouer à Pokémon ? D’envoyer au combat vos pokémons pendant que vous vous tournez les pouces ?
Sachez qu’il existe une autre façon de jouer à Pokémon (parmis tant d’autres ) !


La boite DS du jeu Pokémon ranger






Je vous présente donc aujourd’hui la série des Pokémon ranger, plus particulièrement celui que je viens de finir fraîchement, Sillages de lumière (sachant que j’ai joué il y a très longtemps au deux premiers mais je m’en souviens plus du tout du tout lelelelel).









Alors, kécécé le principe dans ce jeu là? On incarne un Pokémon ranger (oui les dresseurs nuls du jeu de base lelelel !), un personnage qui a pour but de protéger tous les Pokémons grâce au “Capstick”, une espèce de toupie avec laquelle le ranger se lie d’amitié avec un Pokémon sauvage. Le joueur va donc, tel un idiot, entourer le Pokémon avec son stylet (comprenez “violer son écran avec son stylet”) jusqu’à remplir une jauge d’amitié qui change en fonction du Pokémon. Mais attention, le Pokémon ne se laissera pas faire et vous attaquera, il faudra donc faire attention à ne pas vous faire toucher pour ne pas perdre d’énergie !


Un moment de capture dans le jeu Pokémon ranger


On retrouve à peu près tous les principes du jeu de base, comme les CS qui sont remplacées en quelques sortes par les capacités terrains, la capture de Pokémon légendaires, ect… En plus de tout ça, lors de vos captures, les Pokémons de votre équipe peuvent vous aider à remplir la jauge puisque les faiblesses entre les types sont présentes aussi. Sans oublier votre petit Pokémon partenaire, ici un petit Pichu avec un Ukulélé (ui).

Comme je l’ai dit plus haut, je vais vous parler du dernier opus en date, Sillages de lumière. Bon, qu’on soit clair, niveau histoire c’est un peu cucul, je ne m’attarderais pas dessus ! J’ai été agréablement surprise du temps de jeu, je m’attendais à carrément moins long, et pourtant le jeu a tenu à peu près 15h et ça, sans le 100% ! Et oui, après l’histoire principale, on trouve une petit quête post game, des quêtes secondaires, un espèce de monde parallèle avec d’autres quêtes, sans oublier le remplissage du Pokédex a 100% avec, pourquoi pas, une note de capture S pour chaque Pokémon ! D’ailleurs actuellement, je suis en pleine épopée du  100% parce que j’aaaaaaime trop finir mes jeux en 100% blabla, j’suis un peu une fofolle !

Et maintenant, on va directement passer aux choses sérieuses ! Oui, ce jeu change carrément du jeu de base ce qui est plutôt plaisant et c’est assez agréable. Cependant, au delà de l’histoire un peu bateau mais ça passe, je trouve qu’il y a un réel problème de difficulté dans ce jeu (mais dans mes souvenirs je crois que j’avais un peu plus galéré pour le premier opus). Alors, oui, quand vous envoyez vos Pokémons amis vous aider (à part Pichu) et qu’ils se font toucher par l’attaque du Pokémon ennemi, ils prennent leur clic et leur clac et se barrent de votre équipe. Mais, généralement, si vous placez vos Pokémons au bon moment, la capture devient très facile, surtout si vous invoquez votre petit Pichu. Et ça, c’est plutôt dommage si vous cherchez un peu de sel dans votre soupe (Sinon allez sur League of Legends, c’est plus simple !)

Un meme sur Pokémon




Mise à part ce petit problème, Pokémon Ranger est un jeu assez marrant et reposant, et oui, ça calme de faire des petits ronds et de voir le petit Pokémon en panique se dire “OH MON DIEU C’EST QUOI CA AAAAAAH AKSPAKSASSJIAJS” et courir partout jusqu’à l’épuisement… 

C’est le genre de jeu “calme” qui te rend zen après avoir fait un bon rpg qui a duré 50 ans.