30 déc. 2016

Charlotte

Bon, on a fait le magical girl, on peut passer à la romance non ? A la fragilité tout ça tout ça, oui parce-que… OK J’SUIS UN GILEGRA YA QUOI. Charlotte.
Image de l'anime Charlotte

L'histoire nous entraîne dans un monde où certains enfants, durant la puberté, développent des pouvoirs spéciaux. Yū Otosaka est un étudiant de première année, banal, et tout ce qu'il y a de plus normal mais... seulement en apparence car en effet, il est l'un de ces adolescents à posséder des pouvoirs, appelés ESPers. Son pouvoir lui permet de prendre possession de n'importe quel corps de son choix pendant cinq secondes.



Il va par la suite faire la mystérieuse rencontre de Nao Tomori, présidente du Bureau des Élèves de l'académie Hoshi-no-Umi qui le mènera à la révélation du sort qui attend tous les détenteurs de ces capacités spéciale.” - Nautiljon Veuillez excuser mon manque de professionnalisme par rapport à… à tout mais là surtout vis-à-vis des studios Key. Je sais que Charlotte est une de de leurs créations mais je ne crois pas que ça soit eux qui se sont occupés de l’animation, ce sont… Bon en vrai on S’EN FICHE, VOILÀ.
    Présenté sous la forme de 13 épisodes, Charlotte s’est retrouvé sur nos écran via la plateforme Wakanim lors de la saison d’été 2015. Il est donc question de supers pouvoirs, et ce n’est pas un anime d’action, non bah non, c’est du Key déconne pas non plus, mais bien de la romance, du drame et du rigodrole. Et un peu d’action quand même.

    Charlotte est donc l’un des derniers animes de Key, je dis bien l’un des derniers parce-que récemment l’adaptation en anime du visual novel Rewrite a fait surface et… n’a pas forcément emballé plus de monde que ça à ma connaissance… M’enfin bref, vous avez assez lu de bla bla pour rien, voilà la suite.


    Salut c’est moi, le gars qui pose des questions, I’m back.


    OK mais pas maintenant. Mdr j’suis schizophrène. Bon… C’est beau c’est mignon c’est bien dessiné c’est bien animé kawaï DESUNE NEEEEEEEE. On a compris Ben, TOUT est beau pour toi alors ARRÊTE DE LE DIRE. BAH VOILA J’ARRÊTE, mais d’abord, IMAGE :

Image de l'anime Charlotte


Avec ça j’peux introduire les personnages. A gauche, le personnage principal Yū Otosaka qui a donc le pouvoir de prendre possession d’un autre corps pendant 5 secondes. Ce n’est pas du spoil parce qu’on le découvre au bout de la trentième seconde du premier épisode. Il a un caractère plutôt calme, posé mais se laisse très souvent déstabilisé par son entourage tel que… la fille du milieu.
    Nao Tomori, la fille aux cheveux gris du milieu. Plus généralement, quand on voit et quand on entend parler de Charlotte on la voit plus elle que Otosaka, ce n’est pas une mauvaise chose mais du coup on pourrait croire que c’est elle Charlotte, dont le nom de l’anime. ALORS QUE NON, mais qui est Charlotte ? C’EST LE MEC DERRIÈRE. NON J’DÉCONNE. LOL. Présidente du BDE, c’est elle qui dirige tout, elle reste calme en quasi toute situation sans pour autant être sans émotions. Elle est autoritaire et c’est aussi une super sayen en ses temps perdus. Ouais. Un peu comme Yurippe dans Angel Beats.
    Les deux autres ? Jôjirô Takajô et Yusa Nishimori, ce sont un peu des personnages bateaux mais qui ont quand même leur utilité par moment. Il y a aussi la soeur d’Otosaka, qui… bon qui est mignonne parce qu’elle est jeune mais voilà, parfois ferme la quoi.

OMG

Et en ce qui concerne le drame, la romance et le… rigodrole ? Mais ça veut rien dire rigodrole t’es sérieux ?



    Et t’as oublié l’action mon petit con. Bien évidemment ce n’est pas du Naruto, ils ont des pouvoirs mais ça ne se bat pas à coup de crapauds et de limaces géantes. Mais il y a de la pefra, ça se tape dessus quoi. Il faut que j’arrête d’utiliser des mots qui n’existent pas… Nan mdr. Sinon les trois autres genres descriptifs sont respectés, mais l’un prédomine sur les autres pendant un long moment. J’te laisse deviner… Le drame ? Naaan ça serait trop facile, le comique bien sûr.

    Eh oui, à la manière d’un Angel Beats, l’anime te fait sourire POUR MIEUX TE NIQUER APRÈS, m’enfin, calmons-nous, ce n’est pas à moi de juger si l’anime était vraiment triste. Cependant, tu sens que l’anime est là pour te niquer ta journée, tu le vois venir tu le sais, déjà tu vois “Key” tu sais que c’est fini, tu vas lâcher une larme tamaman. Eh oui, le côté sentimental reprend rapidement le dessus et à un moment... ah t’es pas prêt, ah mon gars t’es pas prêt quand tu vois l’épisode X et que t'enchaînes sur l’épisode Y tu te demandes si tu regardes le même anime. Bon après tout revient à la normale mais quand même.

    En ce qui concerne la romance… Bah en fait il n’y en a une véritable que très tard et c’est ce qui va mettre fin à l’anime, mais ça va “bien” le terminer quoi, parce-que ensuite il n’y a vraiment plus rien, tout est cassé la Terre est détruite. Je plaisante, c’était encore une petite boutade ma foi bien sympathique.


Image de l'anime Charlotte Pas du tout. Commençons par clarifier les choses, de chez Key je n’ai vu que trois animes, Clannad, Angel Beats et Charlotte (j’ai essayé Rewrite, meh). Et j’ai beaucoup aimé Angel Beats, plus que Clannad et je ne me justifierai pas, en tout cas pas maintenant. Je sais qu’il y en a d’autres comme Little Buster ou… Air je crois, peut-être qu’un jour, un chat là.
    Revenons à Charlotte, ce que je peux reprocher à cette anime c’est qu’il ressemble à d’autres animes. L’histoire est propre est originale sauf peut-être pour le BDE MAIS si on suit le séquencier (c’est-à-dire l’enchaînement des séquences qui composent le scénario) on pourrait presque le calquer sur celui d’Angel Beats et sûrement à d’autres de la firme ou du genre. Bien évidemment les séquences sont uniques à l’anime et c’est ce qui va tout de même le différencier des autres. Du coup, parce-que je n’ai vu que celui-là, je dirai
que Charlotte est un Angel Beats like. Et à la même manière qu’Angel Beats, la fin va très vite.
(Elle est pas mignonne cette image ? Elle a une bouche en :3, :33, :3333333333333)

    Mon avis cette histoire ?

Mais je ne t’ai pas encore posé de qu…


    Ta gueule. Comme je parlais du séquencier, autant en parler avec “précision”. Dans la globalité c’est un début un peu calme, sur deux trois épisodes je dirais, qui servent principalement à t’expliquer le fond de l’histoire suivi d’un évènement qui est là pour te rappeler que t’es pas là pour déconner. On suit avec quelques épisodes qui tournent autour de la problématique donnée par l'événement en question puis la situation dégénère à nouveau. On passe ensuite à une phase de préparation au rush final avec des problèmes qui arrivent d’un peu partout, rush final, fin.
    Dans le fond, si mes souvenirs sont bons c’est plus ou moins comme ça qu’on peut résumer la suite des séquences de Charlotte et donc d’Angel Beats (à quelques détails près).

Et ça dérange tant que ça ?


    Oui. Non, non pas du tout. Finalement, quand on réfléchit bien on retrouve ce genre de format un peu partout n’importe où n’importe quand et chacun le traite à sa manière. En plus, qui est assez con pour analyser et juger un anime sur son séquencier qui ressemble à celui de ses homologues. Moi. Donc non, pas du tout, en plus vous n’avez pas forcément vu Angel Beats ou les autres réalisations de Key du coup ça n’en dérangera pas plus… ça ne dérangera personne. J’ai dit plus tôt que c’était “dommage” parce-que j’ai trouvé des similitudes autres que le séquencier entre les deux MAIS vu que j’ai beaucoup aimé AB je m’en fiche.
Mais sinon osef d’Angel Beats, Charlotte tu l’as aimé ?
Image de l'anime Charlotte Tout à fait, tutafeh le pokémon, vous savez… Oui j’ai beaucoup aimé Charlotte, c’est vrai qu’on croirait que non parce qu’on a l’impression que je crache sur tous les animes que je présente mais non du tout. Je me suis beaucoup accroché à Tomori et ça m’a fait un petit vide quand l’anime s’est terminé, vous avez ce vide lorsque vous kiffer un personnage parce-que vous lui trouver des qualités que vous aimeriez trouver chez quelqu’un de réel, et non pas de fictif hein, OUI BEN JE TE PARLE A MOI MEME RÉVEILLE TOI (#ForeverAlone). L’histoire m’a donné envi de connaître la suite dès le début même si c’était un peu lent, et à cause de la lenteur  j’ai pris du retard sur le visionnage mais il y a eu ce déclic vers le milieu de l’anime qui l’a mis au top de mon classement de la saison.
    Pour la petite anecdote, même si vous en avez rien à foutre, j’étais chez un ami et on se faisait chier donc la première chose que j’ai proposé fut “eh, j’ai vu un anime de fragile sortir vient on le regarde” et le synopsis en question était quelque chose dans le genre… “oui machin, une fille de telle âge, venant de telle pays, a été abandonné par ses parents et recueillie par une famille d’un autre pays, bla bla, elle veut retrouver ses vrais parents” alors là on s’est dit “ça, ça c’est un truck de la fragilité”. Ne me demandez pas pourquoi j’ai proposé ça. Et au final, on lance le bordel et le personnage principal déjà c'est un gars, et il a des pouvoirs. ELLE EST OU LA PETITE MARIE QUI A PERDU SES PARENTS A CARREFOUR. Du coup grosse surprise et ça nous a plu à tous les deux, comme quoi.
    Donc oui j’ai bien aimé charlotte, il était peut-être bien moins triste, pour moi, que Clannad et Angel Beats mais ça n’empêche pas qu’il ait capté mon attention, l’un n’empêche pas l’autre comme on dit. Et j’aurais bien voulu une suite mais sur ce coup je ne peux pas le dire parce-que l’anime est bel et bien fini et continuera à vivre uniquement à travers quelques OAV qui sortiront sûrement dans le futur. Alors Charlotte, que dire ? C’était très agréable à regarder et je me réjouis d’être tombé dessus “par hasard”. Il y a carrément de quoi trouver un intérêt à suivre l’histoire et même s’il ressemble à son homologue il reste assez peu prévisible, en tout cas sur les points importants. Donc si vous êtes à court d’animes sentimentals ou si vous cherchez à commencer à en regarder, prenez Charlotte en compte dans votre équation !

22 déc. 2016

The returned

Affiche Netflix de la série The Returned

Créée en : 2015
Genre : Drame, fantastique
Format : 42 min

“Le destin des habitants d’une petite ville de montagne, dont la vie est bouleversée par le retour de leurs proches, présumés morts depuis longtemps. Des réapparitions aux conséquences aussi positives que néfastes. Alors que les familles se trouvent à nouveau réunies, la vie de ceux qui avaient disparu est mise à l'épreuve à la fois sur le plan physique et émotionnel. Les relations entre les personnages sont décortiquées avec intrigue et profondeur lorsque des phénomènes étranges commencent à se produire.”

Pour cet article, je vais prendre mon air sérieux, celui que je réserve pour les occasions dramatiques ou les occasions importantes. Vous comprendrez pourquoi par la suite.
The returned est une série américaine de “10 épisodes” (vous vous demandez pourquoi je mets des guillemets à ce moment, je vous réponds que c’est comme ça c’est tout wallah) répartis sur 1 saison. Cette série a été réalisé d’après la série française les revenants créée en 2012 que je n’ai pas vu et que je ne commenterai donc pas.

Cette série, je l’ai beaucoup apprécié. L’histoire est plutôt originale, quand je l’ai commencé, je n’avais pas lu le synopsis (faut savoir que je ne lis quasiment jamais les synopsis, je déteste savoir à l’avance ce qui m’attend), mais le titre me parlait, ça avait l’air glauque et ça pour être glauque, ça l’est. Cette série est malsaine, mais c’est une malsainitude (inventation) bien parce que c’est super intéressant (la psychopathe en moi se réveille). Et vous qui avez lu son petit résumé, n'est-ce pas trop intriguant? Trop foufou? Trop bien? J'ai juste vue l'affiche et je me suis dit exactement ça donc il m'en fallait pas plus, je me suis plongé dans l'aventure.
Chaque épisode porte le nom d’un personnage dont on nous raconte le passé, généralement assez dramatique, sinon c’est pas drôle. Et du coup c’est plutôt cool, l’histoire avance rapidement, les épisodes passent crème, on ne sent pas du tout qu’ils durent 40 min, et ça c'est important. Si vous vous faites chier pendant les 40 min que durent votre série, c'est grave. En plus, on saute pas du coq à l’âne à chaque épisode car tous les personnages sont liés d’une certaine façon (un peu bizarre car la ville est plutôt grande, MAIS BON) et chaque action n’est pas anodine. Rien n'est fait au hasard, TOUT EST LIE.
D’ailleurs au niveau des personnages, y’en a pour tous les goûts, des chiants, des mignons, des vieux, des connards… Les personnages basiques d’une série quoi ! Cependant, je trouvais que la plupart des personnages étaient charismatiques et sympas à découvrir. Le jeu d’acteur était relativement bien, même si à certains moments, leurs réactions étaient pas vraiment naturelles, dans le sens où à l’annonce d’une putin de nouvelle qui va changer leur vie, parfois ils sont en mode “hm ok”. Mais bon j’étais tellement à fond que ça me dérangeait pas vraiment.
En plus la série vous troll tout le long (pour une fois), du coup vous vous dites “ahah je sais ce qui va se passer” et au final vous vous êtes fait avoir en beauté parce que NON PAS DU TOUT. En tout cas, ça l’a fait pour moi et pourtant j’ai la sale manie de deviner à l’avance ce qui va se passer, alors du coup j’étais contente.


Bref, j’ai commencé cette série sur Netflix, je voyais qu’il n’y avait qu’une seule saison, je me dis, tant pis la suite va sûrement sortir plus tard. Je regarde tous les épisodes, la saison 1 finissant sur un truc trop éprouvant, un truc où tu te dis "mon dieu, je vais trouver la suite direct je ne peux pas rester comme ça", il fallait que je sache la suite, c’était devenu horrible. Je vais donc voir sur Allociné la sortie de la saison 2 :

Image montrant une réaction violente

Imaginez ma tête, IMAGINEZ LA (pas besoin en fait y’a le impossibru). La série vous laisse avec la masse de questions dans la tête : Pourquoi sont-ils revenus à la vie? Que se passe-t-il? C’EST QUOI CETTE FIN DE SAISON DONT ON SAURA JAMAIS LA SUITE? DOZAJODZJAODJAZOD

Autant dire que j’ai moyennement aimé cette petite surprise, la morale d’aujourd’hui est donc :
ATTENTION, AVANT DE COMMENCER UNE SERIE QUI A L’AIR APPETISSANTE, REGARDEZ SON CISCIJHDIZQSJD DE STATUT.

Bon après tout, il me reste quand même la série française, qui elle, à l’air belle et bien finie. Mais vous savez, quand vous avez vu le “série française”, vous partez avec un petit poids au coeur, mais je me dis pourquoi pas, pourquoi pas si ça peut me permettre d’arrêter de pleurer toutes les nuits.


En conclusion, j’ai trouvé que cette série était plutôt cool, on entre rapidement dans l’histoire qui est originale, la seule bavure étant le “série annulée”... Evidemment, ça devient une perte de temps si on a pas la fin et les explications de ce qui se passe… Mais c’était une bonne perte de temps, je regarderai sûrement la version française (en faisant abstraction des préjugés) pour me satisfaire.

16 déc. 2016

Mahou Shoujo Ikusei Keikaku



C’est la première fois que je regarde un magical girl et je suis agréablement surpris. Comme c’est ma première expérience dans le domaine je ne peux pas comparer aux autres mais j’imagine qu’ils sont tous différents et celui-ci me paraît bien spécial, voilà pourquoi je vais vous en parler. Il me fallait bien une excuse.

Image de l'anime Mahou Shoujo Ikusei Keikaku

    “Un jeu vidéo développé sur les réseaux sociaux permet à un utilisateur sur 10 000 de devenir une magicienne et d’obtenir de véritables pouvoirs. Mais un jour, l’administrateur annonce à seize filles se trouvant dans un périmètre bien défini que le nombre de magiciennes va devoir être réduit de moitié. Une course s’engage pour collecter les derniers artefacts disponibles, mais les règles deviennent de plus en plus tordues. S’ensuit alors une bataille meurtrière pour survivre…” - ADKami

    Mahou Shoujo Ikusei Keikaku ou magical girl raising project n’est actuellement pas fini, mais le sera sûrement bientôt. Il a donc été publié au début de la saison d’Automne 2016, produit par les studios Lerche et… et… EH OUI VOUS L’ATTENDIEZ TOUS, licencié en France. C’est un magical girl, action, drame et psychologie, oui psychologie ce n’est pas moi qui l’ai écrit, c pa moi wala c’pa oim.


    Et en quoi est-il spécial selon ton jugement ?


Image de l'anime Mahou Shoujo Ikusei Keikaku     Commençons d’abord avec les détails, comme les dessins et tout ça tout ça. Les dessins sont très mimis, peut-être même un peu trop mais c’est un magical girl alors pourquoi pas. ENFIN, “mignon”, oui au début puis après SAAAAAAANG. Les dessins ont été pensé pour qu’on s’attache d’autant plus aux personnages, pour ceux qui ont le potentiel d’être attachant bien sûr. Ce n’est pas donné à tout le monde, la sélection naturelle.
    L’animation, un point plutôt important pour un anime d’action même si c’est un Mahou Shoujo (TAHU JE PARLE JAPONAIS). Eh bien ce n’est pas trop mal, pas exceptionnel mais suffisant pour rendre l’expérience agréable au visionnage.
    La musique… nan pas cette fois (parce-que je n’y fais pas attention en fait).

    Et en quoi est-il spécial selon ton jugement ? Maintenant tu réponds.


    En fait l’histoire porte sur 16 personnages qui ont reçu le pouvoir de devenir des magical girls grâce à un jeu. Les héroïnes qu’elles deviennent sont celles qu’elles créèrent dans ce jeu, avec les mêmes pouvoirs et devront s’en servir pour gagner des “bonbons” en faisant de bonnes actions. Sauf qu’un jour le jeu prévient ces 16 dernières que le nombre de magical girls devra être réduit de moitié, et là c’est la D pour tout le monde. La bonne D. J’ai pas dit bonnet D, stop me harceler. Après cette évènement, celles qui auront récolté le moins de bonbons se verront retirer leurs pouvoir.
    Je n’ai fait que de répéter le synopsis en fait, BRAVO BEN. La magical girl que nous suivrons principalement dans cette série se nomme Snow White. Elle n’est pas forcément la plus intéressante mais sûrement celle qui est le plus dans le demer pour survivre à ce jeu, son pouvoir ne lui permettant en rien d’engager un affrontement.
    L’anime ne vous présente au début que ces personnages sous leurs formes surhumaines, et s’amusera à vous les présenter sous leurs vrais visages pour s’amuser A ENCORE MIEUX LES TUER

   
Image de l'anime Mahou Shoujo Ikusei Keikaku


C’est en fait une Battleroyal du style Mirai Nikki ou king’s game, rien de nouveau à part qu’elles ont des pouvoirs et que ce ne sont que des filles. Ce genre d’anime s’amuse avec vos sentiments et Mahou Shoujo Ikusei Keikaku n’est pas une exception à la règle bien qu’il soit aussi mignon que les… j’allais dire teletubbies mdr.
    Au final, à part le décrire je ne peux pas trop en dire dessus car il n’est pas fini et je ne veux pas gâcher l’expérience de la surprise plus que ce que j’ai déjà fait, et c'est la première fois que je regarde un magical girl du coup prout. Cependant, de la saison d’Automne 2016, il est le seul anime que j’ai regardé sans faute à chaque sortie d’épisode. Il y en a eu d’autres bien mais… manque de temps, et ça se sent sur le format de mes articles.

    Au final, qu’en penser ? Que c’est plutôt bien réussi, l’anime a su capter mon attention et réussira sûrement a capter la vôtre. Pourquoi le regarder plus qu’un autre anime ? Eh bien, si vous voulez voir quelque chose qui change légèrement de la moyenne “normale” ne vous privez pas de regarder au moins les trois premiers épisodes si vous avez une heure à perdre devant vous !

8 déc. 2016

The midnight library T2-T3-T6

Couverture de The midnight library Bouche cousueCouverture de The midnight library L'ultime partieCouverture de The midnight library Du sang sur le sable

Auteur : Nick Shadow
Editions : Nathan

C’est en début décembre (ouiiiii je saiiiiis) que je viens vous parler d’une série de livre qui fait peur. Enfin, qui fait peur, qui est censée faire peur. Bon d’accord, c’est une série pour les enfants, ce n’est pas censé les traumatiser mais quand même… Faut leur faire peur un minimum s’ils veulent flipper, bon Dieu !

D’après LivrAddict, cette série compte 12 tomes de trois petites histoires chacuns et, pour ma part, j’ai lu le tome 2 (Du sang sur le sable), le tome 3 (L'ultime partie) et le tome 6 (Bouche cousue). Ce sont des histoires indépendantes, du coup on peut lire n’importe quel tome sans être dans l’obligation de les suivre, et ça c'est plutôt cool.

Première remarque : dans le tome 2 et dans le tome 6, les histoires mises en avant sur la première de couverture (Bouche cousue, Du sang sur le sable, vous aurez compris…) sont plus courtes que les deux autres histoires qui suivent, et ça, j’ai pas trop compris (ça commence mal quand je comprends pas)... Pourquoi mettre en avant les histoires les plus courtes (et en plus les moins intéressantes je trouve)? WALLAH PAS COMPRIS.
Couverture du livre Chair de Poule Terreur sous l'évierComme je l’ai dit plus haut, ça faisait pas vraiment peur. Ce livre s’adresse à un public jeune j’en ai conscience, je ne suis pas une psychopathe, néanmoins (allez hop un mot bizarre placé) j’ai essayé de me mettre à la place d’un enfant en me demandant de quoi j’aurai eu peur dedans et … j’ai cherché mais j’ai pas trouvé grand chose. Y'avait pas vraiment de suspens, ni de stress. Clairement, les chair de poule (vous aussi vous avez été traumatisé par l’histoire avec l’éponge qui a des dents?) sont plus efficaces pour cela que cette série. Surtout que je trouvais que dans certaines histoires, on voyait le truc arriver à 50 km, on le voyait venir tellement bien qu’on pouvait l'accueillir à coup de boule. Dommage.
De plus, à certains moment la description était parfaitement inutile, le personnage qu’on suivait racontait un peu sa vie par moment, et ça n’avait aucun rapport avec l’histoire. C’est comme si vous parliez de chat avec un ami à vous et qu’il vous dise tout d’un coup “wallah et tu sais moi un jour j’ai fait caca dans une crêpe et je l’ai donné à mon cousin” : vous n’aurez pas vu le rapport avec les chats mais vous saurez que votre ami est bizarre et qu’il a le goût de la merde.


J’ai l’impression que je crache sur ce livre mais il a aussi de bons côtés. Pas beaucoup mais quand même. Par exemple, la plume est assez simple à comprendre pour un enfant (ou alors il est franchement bête, DÉSOLÉE MAIS FAUT LE DIRE HEIN). En plus de ça, c’est écrit gros et les livres sont courts, chose idéale pour débuter l'activité lecture chez un enfant.
Les histoires abordées sont par contre très originales et c'est ce que j'ai le plus apprécié : vous vous attendiez aux histoires d’horreurs banales avec des pauvres vampires ou des inoffensifs loups garous? Et bah non, les thèmes sont plutôt pas mal, ça parle de jeux vidéos, de démons, et de trucs bizarres, des trucs auxquelles vous n’aurez même pas pensé, et ça, ça sort du lot.


Autrement dit, c’est un livre plutôt pas mal pour les enfants, qui les occupera pendant un court moment (mais qui les occupera quand même) mais, si votre enfant est un futur psychopathe et que son but c’est de chercher de l’horreur, du sang et des viscères, il va un peu rester sur sa faim. Faites lui plutôt regarder un film tout mignon comme le silence des agneaux ou The Human Centiped, il appréciera.



Le gentil monsieur de Shining

1 déc. 2016

Gakkō Gurashi!

Il est temps de vous parler de Gakkō Gurashi! (avec un peu de retard, désolé). J’ai longuement réfléchis à sortir un article en parlant mais finalement j’ai trouvé qu’il était intéressant de partager cette expérience dans un format particulier.
Image de Gakkō Gurashi!
Si vous ne connaissez pas je vous conseille fortement de ne rien chercher à son sujet, et c’est pour cette raison que je ne vais pas donner le synopsis et juste vous en parler dans la globalité, grosse globalité.

    Gakkō Gurashi! aussi appelé School-Live! et originaire du japon. Lol. C’est à la base un manga qui a été adapté en un anime de 12 épisodes qui, je suppose, ne s’arrête pas à là dans la version écrite. Animé par le studio Lerche, il est… licencié en France, again and again.

Another one


En fait je vais devoir vous en parler sans vraiment vous en parler, la raison est que cet anime est, à première vu, peu intéressant à visionner et peu appréciable si le style apparent ne nous plait pas, et je dis bien apparent. Pourtant avec un peu de patience il a tout pour devenir carrément passionnant et apprécié de pratiquement tous. Laissez moi vous expliquer.
    Dans Gakkō Gurashi! nous suivons la vie étudiante d’un groupe de jeune fille qui constitue le bureau des élèves d’un… équivalent du collège en France je dirais, peut-être lycée. En effet, elles sont très jeunes et ont de nombreuses responsabilités en plus d’avoir à s’occuper de la surexcitation de leur nouvelle camarade, Yuki qu’on peut voir avec les cheveux roses plus haut (comme tous les personnages principales des animes). “Mais c’est passionnant tout ça, mais moi aussi je vais à l’école et…”

chuuut



Ta gueule, premier épisode, putain de premier épisode. Oubliez cette règle des 3 épisodes pour porter un jugement sur un anime, premier épisode. Je dirais même, 20 dernières secondes MAIS regardez tout le premier épisode sinon ça n’aurait aucun sens. ET je le rappelle, ne lisez RIEN concernant l’anime, pas même le synopsis. Juste, faites moi confiance même si vous ne me connaissez pas, oubliez même ce que votre maman vous disait étant “Archibald, il ne faut pas écouter les inconnus” “tg maman, premier épisode”.
    Au delà du premier épisode, la suite paraîtra tout de suite plus intéressant à visionner parce-que tout le potentiel de cet anime se déverse en l’espace de 20 secondes.

    Niveau dessin, c’est plutôt bien fait il faut l’avouer mais c’est surtout mignon. L’animation est bonne mais n’a rien d’incroyable, cela dit, pas besoin de marquer le coup dessus pour un anime de ce genre du coup tout va bien. Retenez bien ce terme, “mignon”.

Image trop mignonne de Gakkō Gurashi!



Niveau personnage on a plusieurs personnalités différentes, ce qui reste un point fort peu importe l’anime. Sauf que là on parle de collégiennes/lycéennes, avec des plus matures et des moins matures (et les pisseuses habituelles). Concentrons-nous sur Yuki par exemple, c’est le personnage que vous suivrez principalement lors du premier épisode et à juste titre. Cependant vous allez sûrement la trouver lourde et chiante et débile et… et vous êtes en droit de le penser, mais ne vous arrêtez pas en plein milieu à cause de ça, finissez le premier épisode. Ouais on m’appelle le forceur dans le game, mais vous comprendrez de quoi je veux parler si vous faites ce que je vous dis.

    Au final vous ne devez sûrement pas comprendre où est-ce que je veux en venir, je ne parle pas de l’anime ou presque pas et je dis simplement “qu’il faut le regarder”, c’est tout. Bah ouais c’est tout tu veux quoi ? Du pain ? Ce que je veux dire c’est que cet anime a brisé les règles, comme celle des trois premiers épisodes mais en vrai on s'en fiche de celle-là (personne ne respecte, pas même moi). Il a juste poussé la réflexion qu’on peut porter sur un personne au-delà de “ah elle est chiante elle” “ah lui je l’aime bien” “Ha lui il est badassU NOTICE ME SENPAI” “Elle c’est ma Waifu, balékouye”. En tout cas c’est ce que cet anime m’a fait, moi qui pensais regretter d’avoir perdu 20 minutes de ma vie, je me suis retrouvé à réfléchir sur le sens de ma vie pendant au moins… 30 secondes, vous vous rendez compte, 30 secondes.

Image de Gakkō Gurashi!



Parlons d’autre chose que l’anime en lui-même, ouais j’vous avais dit que ça allait être spécial. Comme quelques animes, Gakkō Gurashi! n’a pas forcément fait beaucoup parlé de lui en Europe (ou en France) mais il a eu du succès au Japon, son pays d’origine.
    Après être allé au Japon (oui j’y suis allé OUAIS) et étant passer dans les salles d’arcades et à Akihabara j’ai pu observer de nombreuses affiches et stands spécialement fait pour exposer des goodies de Gakkō Gurashi!, New Game! ou Himouto Umaru-Chan, tous des animes qui ont des apparences mignonnes (et qui le sont vraiment, sous un certain aspect).
    Dans les côtés (ou plutôt étages) de jeux de rythmes dans les salles d’arcade on retrouve, dans quasiment tous les jeux, l’OP de Gakkō Gurashi! ou d’Himouto Umaru-Chan et je ne pense pas que vous ayez entendu un seul d’entre eux jusque là (c’est spécial, mais super agréable à jouer dessus. Par spécial je veux dire spécial Japon, donc pas si spécial en fait). Après c’est peut-être une histoire de license sur les musiques qui permet aux compagnies des bandes arcades de les utiliser m’enfin bref, au pays du soleil levant tous ces petits animes pas forcément connus par ici possèdent là-bas une assez bonne réputation.

Image mignonne de Gakkō Gurashi!



Gakkō Gurashi!, peut-être pas un must-see (ouais ça existe, je crois) mais plutôt un… must-try (un “vaut mieux essayer” pour les ennemis de l’anglais, mais ça n’existe pas en vrai). Je n’ai pas parlé de l’anime en fait, j’ai surtout insisté sur le premier épisode pour que vous essayez putain. Si les experts Miami devaient le regarder ils diraient sûrement la même chose donc du coup, vous savez quoi faire de 20 prochaines minutes. Sur ce, j’attends le second film d’HoneyWorks, Suki ni Naru et je m’en vais regarder Kimi no Na Wa.