19 janv. 2017

La narratrice de la mort - La voleuse de livres





La voleuse de livres

Auteur : Markus Zusak
Editions : Pocket

“Leur heure venue, bien peu sont ceux qui peuvent échapper à la Mort. Et, parmi eux, plus rares encore, ceux qui réussissent à éveiller Sa curiosité. Liesel Meminger y est parvenue. Trois fois cette fillette a croisé la Mort et trois fois la Mort s'est arrêtée. Est - ce son destin d'orpheline dans l'Allemagne nazie qui lui a valu cet intérêt inhabituel ou bien sa force extraordinaire face aux événements ? A moins que ce ne soit son secret... Celui qui l'a aidée à survivre. Celui qui a même inspiré à la Mort ce si joli surnom : la Voleuse de livres…”







Aujourd’hui on va parler d’un livre assez particulier, pour lequel j’ai eu un coup de coeur (ALLEEEEZZZZZ l’année 2017 commence très très bien) mais qui est en même temps assez dur dans certains moments. Oui parce que vous savez, rien n'est facile dans la vie, il faut bien que quelque chose de mal se passe si... Bon, allez on y va !

Dans La voleuse de livres, on suit une petite fille du nom merveilleux de Liesel qui a une vie pour le moins… merdique, OUI VOILA JE L’AI DIT OULALA J’AI DIT UN VILAIN MOT
Pardon.
C’est le froid qui me rend fébrile.
Donc, on retrace une bonne partie de la vie de Liesel qui vit dans une famille qui l’a recueille suite à un accident de guerre (on peut dire ça comme ça). Vous allez me dire : 'ohalala c'est tout? c'est nul ta mer..." OUI ET BAH NON, l'histoire se déroule pendant la seconde guerre mondiale, en gros un cadre idyllique pour aller dans des camps de vacances (attention, ceci sera la seule blague d'humour noire de l'article, vous pouvez continuer tranquillement).

La première chose qui m’a marqué dans les premières pages, c’est l’originalité du narrateur. Et oui, ce n’est d’autre que… la Mort elle même, tellement classe et tellement BADASSSSS. Non en fait, c’est quelque chose de très appréciable, sa façon de communiquer et de penser est assez spécial, dans le sens où on perçoit ses émotions petit à petit. Elle utilise parfois l’humour noir (la classe) ce qui peut être assez drôle si on aime ça mais est en même temps lassée de son boulot qui, il faut le dire, à l’époque dans laquelle se déroule l’histoire, est en pleine expansion. C’est vraiment un bon point de l’avoir placé en tant que narrateur car elle a un point de vue omniscient, elle voit tout (la classe) et elle sait tout (la classe). Merci captain obvious.
Ce qui nous emmène au jeu chronologique que l’auteur crée, puisque la Mort sait tout et voit tout, le lecteur est parfois amené dans le passé pour connaître certains événements, une autre fois dans le futur et retourne ensuite dans le présent afin de continuer l’histoire. Cela peut être assez déroutant au début, mais au final c’est plutôt cool qu’elle nous balade dans ses souvenirs de façon hétérogène, le rythme n’en devient que plus dynamique et plus intéressant. De ce fait, la trame narrative est vraiment cool !
Les personnage sont très humains de part leurs réactions et leurs attitudes face à un désastre comme la guerre, on s’attache très vite à certains en particulier, surtout au personnage principal bien entendu. Elle a vécu tellement de choses qu’on a envie de la serrer dans ses bras et de lui faire des poutous. Plus sérieusement, on vit la guerre avec les personnages, c’est un bon moyen de se mettre à leur place, surtout que la Mort n’y va parfois pas de main morte dans ses descriptions, mais tant mieux hein, tant mieux, on est pas des fragiles ici. On est des hommes. On ne pleure pas.





Ce livre est une petite pépite d’émotions, malgré son côté froid, la Mort est très poétique (supposition d’Audrey : à force de tuer des gens, on commence à s’ennuyer et on s’essaye à différentes activités en parallèle telles que la couture, le tricot ou la poésie) et utilise des métaphores très jolies (oui parfois j’aime les trucs mignons aussi hein, je ne suis pas tout à fait bizarre) tout au long de son récit. En utilisant un langage assez lyrique, l’auteur ne nous cache tout de même pas le côté dur de son histoire : la guerre est vraie, la guerre est vivante et traumatisante pour tous.


Au niveau de la forme, l’auteur ponctue le texte de petite définitions ou d’autres “bonus” plutôt sympathiques qui ne cassent pas du tout le rythme de lecture au contraire. C’est plutôt sympa que les paragraphes soient coupés par de petites parenthèses, ça fait une petite pause, c’est mignon, j’approuve.
Le livre se lit plutôt rapidement car les chapitres sont plutôt courts, d’ailleurs à chaque nouvelle partie, on a un petit sommaire, c’est plutôt rigolo. On peut essayer de deviner ce qui va se passer d’après les titres, et si on est médium, bah on est tout de même un peu dégouté.

La fin du livre, parlons en de la fin du livre :



Vous aurez compris, la loi de Murphy a encore frappé.

13 janv. 2017

L'anime du "bobo le coeur" - Kiznaiver

Alors celui-là il est un peu spécial (pas tant que ça en fait) mais il n’était pas mauvais pour autant. Il est plutôt récent et je trouve ça dommage qu’on n’ait pas plus entendu parlé de lui, tri doumage. Du coup je me permets de vous le présenter, même si vous ne me le permettez pas.
Kiznaiver
"Dans la ville de Sugomori vit Katsuhira Akata, un lycéen qui vient d'apprendre qu'il a été sélectionné pour le programme Kizuna qui permet, à ceux qui y sont connectés, de partager et répartir leurs blessures et douleurs entre eux. Si ce programme a pour but de d'instaurer la paix dans le monde, il est malheureusement encore incomplet. Mais contrairement aux autres, Katsuhira possède une personnalité plutôt plate et ne ressent pas les émotions de la même façon…" - Nautiljon Animée par les studios Trigger, Kiznaiver est publié sur les plateformes de Wakanim pendant la saison de printemps 2016. On nous offre ici des “supers pouvoirs” mélangé à de l’action et de la science-fiction dans un concentré de 12 épisodes qui forment bien l’intégralité de la série animée.  

    Le synopsis paraît un peu flou, j’aurais dû en faire un moi-même tellement je suis fort. Laissez moi vous éclairez mes élèves.
    Comme il est dit, un groupe d’adolescents se connaissant juste de vu pour certain (parce qu’ils sont dans la même école) se retrouvent liés entre eux par un lien de DOULEEEEEEEEUR. C’est BEAU dit comme ça. Ce qui n’est pas précisé, c’est que ces adolescents représentent ce petit truck qu’on connaît tous, les 7 pêchés capitaux. La gourmandise, la luxure, la colère… voilà t’as compris. Les nanatasu no taizai. Après cette histoire d’instaurer la paix dans le monde, BON on ne va pas se la cacher, PROUT, on n’y prête pas vraiment attention.

Kiznaiver personnages

C’est beau, c’est bien animé, c’est mignon, salade tomate oignon supplément fromage frère ? Et sauce samourai algérienne s’il te plaît. Oui bon voilà, je peux juste rajouter que Kiznaiver a son style assez coloré de dessins qui n’est pas du tout désagréable mais à part ça je risque de me répéter. Après tout, parmi les animes récents très peu ont une qualité graphique dégueulasse, les seuls à remettre à question sont les pseudo 3D (le CG) qu’on commence de plus en plus à voir. Passons directement aux personnages quoi. Ah attendez… aux personnages ET à l’histoire, YA QUOI MAINTENANT.

    Donc comme vous l’aurez compris, parce-que c’est la troisième fois que vous le lisez, on va suivre un groupe d’adolescents lié bla bla blou. A l’exception de deux trois personnages, aucun ne se connaissait vraiment et ils apprendront donc à faire connaissance par le biais d’épreuves qui ont été mis en place par le programme Kizuna. Mais le problème c’est qu’ils ne veulent pas s’entraider, et l’autre problème c’est que quand l’un a bobo la tête, tout le monde bobo la tête. La magie. Du coup ça force nos petits personnages à jouer ensemble et là débute une nouvelle histoire d’amitié qui, ma foi, n’est pas piqué des hannetons. Je dis ça parce-que, cette histoire de paix dans le monde WESH C’EST QUOI CA, allé poubelle le peace and love, ce qui est intéressant c’est ce qui se passe entre eux, là tu vois on rentre dans quelque chose. Mais quand quoi ? mdr...

    Du coup, les personnages, je vais parler rapidement de celui qui a son cadre en blanc parce-que c’est soi-disant le principal. Donc monsieur cheveux blancs c’est lui, Katsuhira Akata et son pouvoir à lui, c’est qu’il ne ressent pas la douleur. Non en fait ce n’est pas un pouvoir mais il est comme ça voilà ne me demande pas pourquoi, et son amie c’est celle dans le cadre rose, on va l’appeler cheveux roses. Et comme il est un peu particulier, c’est ce qui va justifier son rôle de personnage principal.
    Ce qui est vraiment bien dans cet anime, c’est que parmi nos 7 personnages aucun ne se ressemble ET pour cause, le choix des 7 péchés capitaux. Eh oui, par exemple, le personnage représentant la colère se démarquera des autres par ses pulsions largement plus forte que les autres, celui qui représente la paresse, vous m’avez compris et ainsi de suite. Du coup, ça nous donne vraiment 7 personnages à suivre complètement différents et c’est ce qui rendra leur liaison d’autant plus compliquée et intéressante.
    Autre gros point fort, ils sont tous très bien interprété, mais vraiment, inch’bouddha c’est vrai. En plus, dans un premier temps, ils nous font rire et j’en suis le premier surpris, Kiznaiver qui pourtant n’a pas un scénario marrant m’a fait bien rire mais bien sûr, coup classique, tu rigoles mais après… mais après VOILÀ QUOI. Si je dois résumer l’anime sur les différentes situations ça serait comme ça : c’est drôle => ah là ça devient sérieux => oh OH OOOOOOOH. Je dois quand même préciser quelque chose.


Kiznaiver Nico Ce personnage, Nico, très gamine très enfant et ça tu le sens dès sa première seconde d’apparition. Je m’attendais très clairement à qu’elle me fasse chier tout le long de l’anime jusqu’à vouloir souhaiter sa mort, et dans un anime quelconque, quand tu croises le regard d’un personnage comme ça tu sens la merde arriver, tu sens que le personnage a été créé pour se faire détester (d’un point de vu moyen européen bien sûr). EH BAH PUTAIN, Trigger BRAVO. Nico est juste le MEILLEUR personnage de Kiznaiver de mon point de vue, et je dirais même l’un des meilleurs personnages que j’ai pu rencontrer TOUT anime confondu. Tout chez elle a été incroyablement bien mis en scène et un grand bravo à Misaki Kuno qui est celle qui lui a prêté sa voix, ce personnage est une réussite intergalactique. Tous les autres personnages ont été très bien réussi aussi mais Nico gagne 110000 points d’avance sur eux juste parce-que c’est Nico, vous comprendrez si vous regardez. Ce n’est clairement pas le personnage principal mais son évolution au cours de l’histoire est l'une des plus compliquée à vivre. Je dirais qu’en règle général Kiznaiver nous a offert un pannel de personnages supers intéressants et juste pour ça il mérite d’être regarder. Nico I choose you.

Et niveau scénario ça donne quoi, parce-que je vois mal ce que ça peut donner avec ça.

Je pensais comme ça aussi, d’ailleurs à sa sortie je n’y ai pas prêté attention GROSSE ERREUR DE MA PART, je remercie un ami qui m’a dit “gros regarde le la putain de ma maman t’veux j’te baise ou quoi” j’ai dit “ok”  et au final MERCI A TOI l’ami, sinon je n’aurais jamais connu Nico, euuh Kiznaiver pardon.
    Comme je l’ai dit plus haut, l’anime est amusant dans un premier temps puis s’attaque à tes sentiments mais pas d’une manière classique. Si vous voulez, je ne me rappelle pas avoir voulu verser une seule larme peu importe la situation, mais est-ce nécessaire qu’un anime te fasse ressentir l’envie de le faire pour qu’il soit “triste” ? Kiznaiver est l’exemple même du contraire. Il m’a fait mal, il m’a fait mal comme si quelqu’un faisait mal à un ami proche et que je ne pouvais rien n’y faire. En fait cet anime s’est baladé au fond de moi, a trouvé le coin où j’avais stocké toute l’affection que j’avais pour ses personnages et a mis des coups de ieps dedans en mode ninja, et ça m’a… tellement fait de la peine pour eux. OK traitez moi de fragile de toute façon JL’ASSUME YA QUOI, coup d’tête balayette.
    Pour revenir sur le scénario, on suit simplement la suite des épreuves qui ont été conçues et pensées pour faire avancer tout ce beau bordel de manière naturelle, rien de spécial mis à part les épreuves qui sont un poil tordues  mais sinon ça va. Imotep. Cependant, ces épreuves mélangés aux comportements et aux histoires de chaque personnage rend la chose plus… passionnante, ouais c’est le mot. En tout cas c’était bien réfléchi.





Kiznaiver, très très bonne découverte et très très bon scénario. Au final, le programme Kizuna a été conçu pour que nos sept personnages, qui sont très bien réussis je répète, ressentent une douleur partagée, cependant après réflexion, le programme n’a-t-il pas été conçu pour 8 personnes, et ce 8ème personne serait... toi, moi, nous ? Pourquoi ne pas essayer le programme Kizuna à ton tour. A plus dans le bus.

5 janv. 2017

On vous en dit plus ! - Gaming Tag

C'est avec un peu de retard que nous vous souhaitons un Joyeux Noël et une bonne année, on espère que vous avez passé de bonnes fêtes.
Voilà les politesses c'est fait.

On commence donc l'année 2017 par un petit TAG histoire qu'on se connaisse mieux et qu'on débute par un article assez léger. Du coup, Ben répondra aux questions en vert et Audrey en rouge.
N'hésitez pas à reprendre les questions du TAG et à y répondre en commentaires !


1) À quel âge as-tu commencé à jouer ?

Environ 8 ans, même peut être avant. J’ai commencé sur des jeux d’enfants, genre les dalmatiens (oui vous avez bien lu) sur PC. Au passage,  je conseille ce jeu, les dalmatiens c'est trop bien. Tôt vers 5 6 ans je dirais… sur PC (YES) avec des jeux star wars et plus précisément star wars battle...GROUND, pas battlefront, c’est un jeu de stratégie en temps réel. Oui un jeu de stratégie, à 5 ans oui, oui oui.


2) Avec qui as-tu découvert ton premier jeu ?

Ce fut avec mon père qui me donnait quelques euros à chaque fois que je le débloquais dans un jeu (ouais une affaire de famille). Cependant je passais le plus clair de mon temps à jouer avec mon voisin du dessus, c'est lui qui avait les consoles.
J’ai découvert ce jeu avec mon oncle, je le regardai beaucoup jouer puis il m’a laissé essayer pour devenir ce que je suis devenu aujourd’hui. Voilà voilà...


3) Quelle a été ta première console ?

Normalement ça serait le PC mais je considère pas ça comme une console alors je dirais…. La vieille Nintendo DS ! Ouiiii, la toute grosse moche et dont l'écran tactile est plus que foutu.
Comme la femme l'a dit, ça serait le pc mais ce n’est techniquement pas une console du coup c’était la gameboy (color ou pas je sais plus) si on parle de console portable et de salon, si c’est uniquement de salon c’était la gamecube.

Nintendo best
4) Quelle est ta console préférée ?

La gamecube je pense ! Wind wacker et twilight Princess les gars !

La Wii parce qu’il y a toujours des jeux auxquels tu peux encore jouer aujourd’hui avec des amis et trouver le moyen de te taper une barre. Sauf super smash bros, là tu perdras des amis.

5) Quel est le jeu auquel tu as pris le plus de plaisir à jouer ?

Sûrement Pokémon Emeraude, j'ai passé toute mon enfance dessus c'était n'importe quoi!
J’aurais bien dit LoL ou Osu! mais… après réflexion je dirais Nostale en fait qui est le MMORPG où j’ai rencontré Audrey et pendant plus d’un an je ne me connectais plus pour voir des gens que pour y jouer et ça c’était plutôt cool. Ensuite tout le monde s’est enfui et comme la communauté en elle-même n’était pas très “mature” je ne suis pas resté non plus.


6) Le jeu auquel tu as le plus joué ?

Sans hésiter, Pokémon encore une fois, et ce qui est le plus drôle c'est qu'en vrai j'ai jamais eu le Pokédex super rempli et j'avais la masse d'heure de jeu dessus.
Bah… Jusque-là je pense que c’est LoL.


7) Quel jeu t'as donné le plus de mal à finir ?

Bah je saiiiis pas… Les jeux auxquels je jouais petite sans doute, parce que faut se l’avouer, les jeux quand on est petit, on y comprends rien.
Je n’ai pas fini bcp de jeux, mais je dirais… emily is away PARCE-QUE CETTE CONNASSE NE VEUT TOUJOURS PAS SORTIR AVEC MOI. (C'est du troll oui, c'est juste que je n'ai pas réponses là tout de suite)


8) La cinématique qui t'as le plus marqué ?

Celles d’Alice Madness returns, elles sont tellement jolies et glauques ! Totalement mon style.
De celles que j’ai pu voir, je dirais les cinématiques de Star Wars The Old Republic. Déjà j’adore Star Wars, et je dis ça uniquement d’un point de vue visuel parce qu’il faut avouer qu’elles claquent.



9) Ta plus grande déception sur un jeu ou une console ?

Vu que je suis une grande fan de Pokémon, j’attendais avec une grande envie Pokémon X. Quelle ne fut pas ma stupéfaction quand j’ai remarqué que c’était nul à chier. Bon d’accord y’a les méga évolution (et encore on en parle du méga Nanméoui) mais rien que la difficulté du jeu (merci le multi exp) et le scénario....  
Pour un jeu.. je dirais les sims 4 que j’avais précommandé parce qu’on m’avait vendu du rêve (je répète que je n’ai pas joué à beaucoupp de jeux solo) et en fait… à part la création de personnage qui était vraiment bien (moins bien que celle de Black Desert Online) et quelques nouvelles choses qui étaient bien aussi, ils manquaient plein de trucks et des trucks ont été enlevé comme l’open world et ça je suis désolé mais, l’open world c’était important.


10) Quel est ton personnage masculin préféré ?

J’ai pas vraiment de personnage masculin préféré mais je dirais Geralt de Riv pour son… charisme (miamiam) et Dante parce qu’il a la classe.
Le beau jack parce qu’il est con putain.


11) Ton personnage féminin préféré ?

Bayonetta, elle porte pas d’habits, ce sont ses cheveux et c’est vachement COQUINOU
... Emily ?


Pikachu en Russie12) Dans quel univers de jeu aimerais tu vivre ?

J’aimerais beaucoup chasser du dragon dans l’univers de The Elder Scrolls (et voler un cheval pour me faire pougnacer la gueule après) ou vivre dans le monde Pokémon et partir à l’aventure avec mes fidèles compagnons.
Goat simulator. Ou pokémon, c’est bien pokémon aussi. Et j’élèverais des toudoudous PARCE-QUE C’EST TROP MIGNON UN TOUDOUDOU


13) La suite que tu rêverais de voir ?

Beyond good and evil, BON DIEU CE JEU ÉTAIT MAGIQUE
Left 4 Dead 3, mdr volvo pluz.


14) Quelle classe te correspond le plus dans un RPG ?

Je me situe plus en archère/chasseresse, la meuf qui aime la nature mais qui sait quand même donner des baffes quand elle est pas contente.
Pendant un temps c’était guerrier DPS, maintenant j’aimerais beaucoup jouer healer en groupe organisé, ou mage DPS, enfin changer quoi. Mais j’aime toujours un peu jouer guerrier/berzerk.


15) Plutôt jeux gratuit ou payant et avec ou sans abonnement ?

J’aime autant les jeux gratuits (quand ils sont bons j’entends bien) que les jeux payants mais je ne suis pas dans un délire d’abonnement, je joue quand j’en ai envie sans avoir à payer tous les mois.
Gratuit ou payant tant qu’il est bien (et pas trop pay to win) mais surtout sans abonnements, enfin je dis surtout ça parce-que je n’ai pas les moyens de me payer un abonnement.

16) 3 points qui caractérisent un bon jeu vidéo selon toi ?

Un bon jeu vidéo pour moi, c’est trois points : le scénario, le gameplay et une bonne bande son. Les graphismes ne comptent pas (y’a qu’à regarder undertale) à mes yeux. 
Comme je n’aime pas trop jouer aux jeux solos je mettrais en premier “un mode multiplayer jouable” parce qu’avec des amis avec qui on a l’habitude de jouer, même si le jeu en question est nul, un mode multi reste quand même bien drôle. Ensuite je mettrais l’histoire parce-que c’est important de ne pas jouer “pour rien”, et je le mets avant le gameplay qui prend la 3ème position parce-que si je prends par exemple les visuals novels, le gameplay se réduit à répondre avec des phrases déjà faite or l’histoire est sûrement pas mauvaise si ça a séduit du monde.